B4. FACE à FACE PASTEUR / BECHAMP




Pour en finir avec Pasteur*
face à face Pasteur / Béchamp
élaboré par le Docteur Alain Scohy**
 
Le Professeur Antoine Béchamp est un contemporain et critique de Pasteur, dont l’ouvrage majeur, "Les microzymas", est une base fondamentale de la biologie. Ses travaux, négligés au profit de son très médiatique opposant, se trouvent confirmés par les récentes découvertes des géologues et des biologistes. Ne les connaissant pas, ceux-ci ont nommé les microzymas de Béchamp, "nanobes" ou "nanobactéries", mais ils parlent bien de la même chose.
Il est temps de rendre à Béchamp ce qui lui appartient, de prendre en compte les découvertes de ce génial et discret précurseur et d’en tirer les conclusions qui s’imposent.

Monsieur Louis PASTEUR 1822 / 1895
Professeur Antoine BECHAMP 1816 /1908

Docteur ès Sciences
Agrégé de Physique et de Chimie
Il a découvert la loi de polarisation des substances organiques (levogyre, dextrogyre, racémique)
Spécialiste génial en relations publiques et marketing publicitaire
Il a sauvé la France de la honte de la défaite militaire contre les allemands par la dimension qu’il a su donner à ses prétendues découvertes scientifiques autour des vaccinations.


Agrégé de Pharmacie
Docteur ès Sciences Physiques
Docteur en Médecine
Professeur de Physique et Toxicologie à l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg,
Professeur de Chimie Médicale et de Pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier
Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille
Professeur de Chimie Organique et de Chimie Biologique à Lille.
BASE THEORIQUE DE TRAVAIL

L’unité de base de toute vie organique serait la cellule (Virchow, Pasteur). Les granulations microscopiques sont niées, elles ne seraient que des artéfacts. Nous retrouvons là une maladie bien connue, totalement incurable, de beaucoup de "scientifiques" : l'aveuglement volontaire...

La cellule serait ASEPTIQUE. Il n’y aurait pas de germes dans l’intimité des organismes vivants complexes, à l’état normal ? (Il suffit d’observer un tissu vivant au microscope pour observer des microbes - dans le sang par ex.)

Les « Biologistes » modernes étudient la vie en
observant le « mort »...
Les tissus sont préalablement :
  • fixés (= tués) par un bain de formol + acide,
  • déshydratés totalement (l'eau - c'est à dire 65 à 90% de la matière vivante est remplacée par de l'alcool),
  • dégraissés (toluène ou trichloréthèlène),
  • inclus dans de la paraffine, du plastique, ou congelés,
  • coupés en tranches ultrafines = dilacérés, fripés +++,
  • chauffés (600°)
  • baignés à nouveau dans le toluène ou trichloréthylène,
  • rehydratés artificiellement,
  • mordancés (bains dans de l’acide),
  • colorés, etc.


L’unité de base de toute vie organique est la granulation microscopique (visible à un grossissement d'au moins 750) - bien connue à l'époque de Pasteur et de Béchamp - baptisée "microzyma" par Béchamp.
Elle est redécouverte actuellement sous le nom de NANOBE ou NANOBACTERIE !

Le microzyma est capable de se reproduire.
  • Il a son métabolisme propre.
  • Il est capable de fermenter et transformer certaines substances.
  • Il est capable de bâtir des tissus fibreux, membraneux...
  • Il est capable de construire des germes ou mycèles (comme le bacille de Koch) pour effectuer certains travaux particuliers. Ces derniers sont en quelque sorte des « machines-outils » (tracto-pelles, bulldozers) !
  • Il est capable de bâtir les cellules afin de créer un milieu favorable aux échanges (nutrition - respiration - métabolisme) au sein des organismes vivants complexes et de permettre la cohésion de l’ensemble par la création de forces électromagnétiques puissantes (différences de concentration en électrolytes de chaque côté des membranes cellulaires).

« Le « Microbisme » est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu'à l'origine des choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades. »
Professeur Antoine Béchamp

LA PANSPERMIE ATMOSPHERIQUE ?

Toute maladie proviendrait d’un microbe spécifique venant de l’extérieur. Ou par extension d'un prétendu virus, d'un prétendu prion, d'une cellule cancéreuse, d'une mutinerie de l'armée défensive qu'est le système immunitaire... C’est une agression, dans une dialectique de guerre.
D’où l’intérêt des vaccins, des antibiotiques (anti-vie), des anti-inflammatoires (anti-réparation), des chimiothérapies (artillerie lourde), des armes atomiques (bombe au cobalt, radium...).
D'où le mythe du SIDA qui présuppose cette dynamique de guerre et l'existence du système immunitaire.

Cette politique est à l’origine de nouvelles maladies plus graves encore : les maladies auto-immunes par dérèglement de ce système immunitaire (vaccins) et toutes les maladies liées à l’empoisonnement par des toxiques chimiques divers – antibiotiques, anti-inflammatoires, aluminium des vaccins (vache folle), mercure des plombages, etc. !
Un microbe serait immuable. Il ne pourrait changer sauf par mutation accidentelle et en général pour devenir « résistant » ou plus agressif.
La « vie » serait immobile et immuable, comme ces tissus tués, dilacérés et fixés par le formol !
C’est la théorie du MICROBISME.


L’évolution du microzyma est fonction de la qualité du milieu dans lequel il se trouve :
  • éléments nutritifs, oxygène,
  • constantes bio-électroniques (qualité de l’eau) : pH, rH2, résistivité.

Les maladies sont toujours des processus de sauvetage ou de réparation — et de vie.
Elles ne sont graves que lorsque le milieu est déficient : carences en vitamine C, en eau, en repos ou en nutriments, déséquilibre bio-électronique, etc…

« Rien n’est la proie de la mort, tout est la proie de la vie »
Professeur Antoine Béchamp








Un microbe, une cellule, un tissu, peut toujours redevenir microzyma. Ces microzymas pourront selon les besoins et le milieu bâtir d’autres germes, tissus ou cellules...

D’où une notion de POLYMORPHISME bactérien, qui passe obligatoirement par le microzyma.
PASTEUR
Vision militaire et agressive
BECHAMP
Vision pacifiste et coopérative

La maladie provient de micro-organismes extérieurs au corps

La maladie provient de micro-organismes à l’intérieur des cellules du corps.
(Nous avons dix fois plus de bactéries que de cellules)
Il faut se protéger des micro-organismes
Ces micro-organismes intracellulaires construisent et assistent les processus métaboliques du corps.
La fonction des micro-organismes est constante : ils sont toujours virulents et ne subissent aucune mutation
La fonction des micro-organismes change, en fonction de l’état du terrain et de la situation, agent destructeur ou coopérateur selon les besoins, pour accompagner les processus de désintégration de l’organisme hôte lorsqu’il meurt ou est blessé mécaniquement ou chimiquement.
Les formes et couleurs de micro-organismes sont constantes
Les micro-organismes changent de formes et couleurs pour refléter le milieu. Selon que le milieu est acide ou alcalin on voit apparaître plutôt des bactéries ou des virus (Cf. LC. Vincent).
Le type de microbe qui apparaît dépend de l’état du terrain.
Chaque maladie est associée à un micro-organisme particulier
Chaque maladie est associée à une condition particulière, qui détermine ou non son apparition
Les micro organismes sont l’agent causal premier
Les micro-organismes deviennent pathogènes (ou virulents  ?) si la santé se détériore. La condition de l’organisme est l’agent causal premier.
La maladie peut frapper n’importe qui aveuglément. (Confusion entre présence du virus et maladie)
La maladie se construit sur des conditions malsaines. L’amélioration des conditions d’hygiène a fait disparaître les maladies infectieuses.
Pour prévenir la maladie, il est nécessaire de construire des défenses.
Pour prévenir la maladie, il est nécessaire de créer les conditions de la santé.


* Titre en référence à l’ouvrage du Docteur Eric Ancelet : Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique
** Alain Scohy est l'auteur d'un résumé du livre du Professeur Béchamp, intitulé : Les microzymas, la révolution en biologie


René Bickel