Il est bien connu que la musique agit sur l’humeur des
humains, des animaux et même sur la croissance des plantes. Observateur de ce
phénomène depuis quarante ans, Joël Sternheimer, docteur en physique théorique
et musicien, en a scientifiquement décodé le principe et les effets. Ses
découvertes sont à l’origine d’un nouveau concept de biologie ondulatoire, à la
croisée de la biologie moléculaire et de la physique quantique : la génodique.
Cette discipline apporte une dimension supplémentaire à la
biologie, en prenant en compte les aspects ondulatoires (ou vibratoires) de
l'expression du génome, et en intégrant la dimension de « sujet »
propre à tout élément du vivant, en plus de sa dimension d’
« objet ».
Résumé des lois de résonance harmonique découvertes par Joël
Sternheimer
Des ondes d’échelle permettent
la communication entre les différents niveaux d'organisation du vivant.
Les acides aminés émettent des
séquences de signaux quantiques appelées protéodies
qui constituent les mélodies moléculaires propres à chaque protéine.
Le
décodage et la transposition de ces mélodies dans la gamme audible permet
d’influer sur la synthèse des protéines, à la base des processus du vivant,
dans le respect de ses lois.
Intégrer l'observateur dans son champ d'observation, ça change tout
Cette prise en compte est l’axe
fondateur des découvertes de Joël Sternheimer. Il affirme clairement que c’est
la distinction sujet-objet qui fonde une science digne de ce nom, et pas
l’exclusion du sujet telle qu’elle est conventionnellement pratiquée par les
scientifiques. Le fait de
se considérer comme neutres et extérieurs à « l’objet » observé – une
erreur en soi – conduit aussi à ignorer la part de sujet présente dans tout
objet d’étude, comme dans les bactéries par exemple. C’est pourtant cette
dimension de sujet qui permet de communiquer avec l’objet en question, et comme
nous le faisons de toute façon inconsciemment, quoique nous en pensions, autant
prendre la donnée en compte. Ce positionnement est le prérequis de tout
protocole de recherche visant à mieux connaître n’importe quel organisme. Le
dialogue ainsi établi permet de le connaître de l’intérieur, que ce soit une
table, une fleur ou une personne. Il montre l’inutilité et l’absurdité des
méthodes classiques d’investigation guerrières qui « cassent » la
matière et étudient la vie en observant des tissus morts, tués au formol et à
l’acide.
Les principes
fondateurs de la génodique démontrent l’inanité de la manipulation du génome,
que ce soit sous la forme de thérapies géniques ou de cultures transgéniques.
En revanche ses applications ouvrent de larges horizons à la médecine et à
l’agriculture. Dans ce domaine, on observe par exemple une augmentation
spectaculaire de la qualité, du goût, de la résistance naturelle et du
rendement des produits maraîchers exposés au chant des protéines.
La génodique
offre certainement des voies d’amélioration à beaucoup de maux de notre époque.
Les ondes d’échelle : un chaînon manquant retrouvé
Cette relation déterminante sujet/objet
a amené Joël Sternheimer à modifier des équations fondamentales de la physique
quantique.
En
travaillant sur la distribution des masses des particules, il a découvert
qu'elles étaient réparties suivant une gamme musicale, la gamme tempérée essentiellement,
ce qui indique que dans les fréquences associées à ces particules il existe des
harmoniques. Il a ensuite mis en évidence l'existence de signaux quantiques
qu'il a appelées ondes d'échelle,
émises par les particules à des fréquences inaudibles, et notamment dans les
cellules vivantes par les acides aminés ; des ondes qui relient les
différents niveaux d’organisation de la matière, depuis les
particules élémentaires jusqu'aux organismes complexes, dès lors qu'une
qualité de sujet peut leur être reconnue, ce qui est toujours le cas.
Les vingt deux acides aminés, molécules
de base communes à l'ensemble des organismes vivants, véritables
piliers de l'organisation métabolique, émettent chacun une onde
caractéristique dont la fréquence a été calculée. Ces
ondes sont émises au moment où des chaînes d’acides aminés s'assemblent pour
former une protéine. Elles sont appelées ondes
d'échelle parce qu'elles relient entre elles des échelles différentes :
celle de chaque acide aminé à celle de la protéine en formation.
Chaque protéine a une signature musicale
Les
chaînes ainsi formées dans la synthèse d'une protéine se traduisent par
l'émission d'une suite de hautes fréquences électromagnétiques, caractéristique
de cette protéine, que Joël Sternheimer a appelé protéodie.
Ces fréquences sont transposables dans le spectre audible
sous la forme de notes de musique. Selon la
complexité des protéines, allant d’une dizaine à des centaines d'acides aminés,
on obtient une séquence variant pareillement d'une dizaine à plusieurs
centaines de notes. Leur succession naturelle met en évidence une
progression qui évite les dissonances, favorise les fréquences proches et
présente des régularités rythmiques. « Chaque
protéine peut être caractérisée par sa musique, qui est une vision de la
protéine à une autre échelle », précise l’inventeur.
Des mélodies moléculaires pour les plantes et les hommes
Le
décodage et la transposition musicale des séquences d’acides aminés permettent
d’ores et déjà de disposer d’une importante banque de données.
Joël Sternheimer a ainsi répertorié un nombre important de thèmes
musicaux équivalents au chant des
protéines.
Jean-Marie Pelt, agrégé de pharmacie et botaniste, explique
ce processus dans le domaine des plantes : « Lorsque les plantes "écoutent" la mélodie appropriée,
les ondes acoustiques sont transformées "microphoniquement" en ondes
électromagnétiques et se mettent à produire la protéine spécifique à cette
mélodie ». On peut ainsi stimuler n’importe quel processus vital
– croissance, germination, floraison ou mûrissement pour la plante – en
connaissant ses protéodies. Mais on peut aussi le freiner ou l'inhiber en composant une
mélodie en opposition de phase.
Joël Sternheimer insiste sur le
fait que ce qui agit dans la musique des protéines, ce n’est pas la vibration mécanique mais l’information contenue dans
la suite des intervalles d’une
fréquence à l’autre, c’est-à-dire dans la donnée des changements d’unités successifs effectués par la plante-sujet (ou
l’être humain) qui reçoit
ces sons. Le son n’est
ici que le support de l’information,
laquelle peut être
transmise sur d’autres
vecteurs.
C’est dans cette distinction que se situe en substance le
problème des OGM, où les plantes sont traitées comme des objets dans lesquels
on aurait conservé le son et oublié la musique, d’où entre autre leur forte
mutagénicité. Le décodage protéodique remédie à cet oubli et n’entraîne pas de
conséquences néfastes et incontrôlables.
Le patient connaît la musique
Tout
organisme reconnaît les séries de sons harmonisés accordés aux acides
aminés. Le patient/auditeur/sujet est donc
théoriquement capable de ressentir si la musique spécifique d'une protéine ou
d'une molécule lui est nécessaire. Si oui, la mélodie lui procurera une
émotion agréable, sinon elle lui semblera bizarre ou déplaisante. On constate
qu’il est prudent d’arrêter l’audition à ce moment-là. C’est une forme de
médication que le sujet peut et devrait maîtriser lui-même en apprenant à
développer et à affiner son écoute.
Cette notion qui peut paraître subjective annonce une
véritable démocratisation de la médecine de demain.
« C'est la conscience qui est
impliquée lorsqu'on écoute une molécule, explique Joël Sternheimer. Il y a une
action directe sur le corps mais que l'on peut apprécier grâce à la connexion
établie par le cerveau et le système nerveux ». L’émotion perçue à
l’audition se traduit également par une augmentation de l’amplitude du pouls
radial, qui cesse dès que l’émotion disparaît.
Les musiques traditionnelles contiennent des fragments de protéodies
A l’origine,
les musiques traditionnelles étaient thérapeutiques. De nombreux chamans ou
guérisseurs créaient, et créent toujours, des mélodies qui agissent sur la
santé de leurs patients. Ces musiques cycliques, en répétant certains passages
qui sont en fait des fragments de
protéodies, ont une probabilité d’ « accrocher » une séquence
d’acides aminés en phase avec elles. Par exemple, le canon de Pachelbel,
réputé pour ses effets apaisants, fait apparaître dans son fameux leitmotiv de huit
notes le thème d’une protéine de régulation du stress.
Au siècle dernier on disait déjà
que les thérapies par le son et la lumière seraient les thérapies du 21ème
siècle. La génodique, mais aussi l’intérêt grandissant pour des activités
psycho énergétiques comme le yoga
du son ou le chant biodynamique semblent le confirmer. Bien menées, ces
pratiques nous aident à renforcer notre système nerveux et à nettoyer les
résidus énergétiques des vieilles formes dont nous n’avons plus besoin ;
elles permettent aussi de nous ajuster progressivement aux nouvelles fréquences
vibratoires de notre monde en mutation.
Les cristallisations de Masaru
Emoto nous montrent noir sur blanc l’action plus ou moins bénéfique de
l’environnement sonore sur notre eau cellulaire qui en garde la trace
mémorielle.
De très nombreuses séquences d'acides aminés
sont connues et disponibles sur différentes banques de données. En revanche le
procédé d'élaboration des protéodies et leur application sont protégés par un
brevet qui couvre le code et la méthodologie mis au point par Joël Sternheimer
pour transposer le génome en séquences de notes musicales ou de couleurs, ainsi
bien sûr que toutes les mélodies élaborées en appliquant ce code.