B1c. LA DYNAMIQUE DE L'EAU



La bioélectronique de Vincent (III)

La dynamique de l'eau

« La bioélectronique a permis de mettre en évidence l’aspect dynamique de l’eau, trop souvent analysée à l’état statique sur des critères chimiques qui ne traduisent pas ses facultés d’adaptation aux variations du milieu vivant. »[1]. Docteur Jeanne Rousseau
L’ignorance officielle des paramètres vitaux de l’eau n’est pas surprenante quand on sait qu’en sept ans d’études de médecine il n’y a pour ainsi dire pas de cours sur l’eau, alors que c’est le principal constituant de l’organisme.
L'eau possède une individualité biologique liée à trois facteurs distincts qui la structurent :
La nature du milieu dans lequel elle circule : le facteur chimique
La vitesse d'écoulement dans le milieu en question : le facteur cinétique
La température : le facteur thermique
Cette structure confère à l’eau une faculté de résonance qui lui permet de s’adapter aux variations électromagnétiques, d’origine cosmique, du milieu extérieur. Elle répercute cette faculté dans les milieux vivants dont elle conditionne la morphologie et l'équilibre physiologique.
Toute altération de l'eau, même infime, au delà de ce que peut déceler l'analyse chimique, impacte la respiration cellulaire et nous entraîne dans le cercle vicieux de la dégradation du terrain.

L’eau limpide et morte exigée par la réglementation
Pour qu'une eau soit déclarée potable elle doit répondre à près de 150 critères. Ces normes qui paraissent strictes sont en fait très tolérantes car elles acceptent de nombreux toxiques à condition que leur concentration ne dépasse pas le maximum autorisé, ainsi que des traces de métaux lourds et de pesticides, difficilement dosables, et dont on ignore (dans tous les sens du terme) les dangers.
Cette eau réglementaire est une eau morte, stérilisée à l’aide de produits très oxydants, comme le chlore ou l’ozone, ioniquement alcaline et chimiquement chargée d’électrolytes. Son bilan bioélectronique est très similaire à celui effectué sur le sang des cancéreux. Mais elle est limpide et exempte de microbes…
Si l’eau du robinet favorise l’alcalinisation, l’oxydation et l’encrassement électrolytique de nos organismes, nos usages et modes de vie dévitalisants y contribuent largement : engrais chimiques, pesticides, pasteurisations, stérilisations, irradiations, vaccins, antibiotiques, médicaments, abus d’eaux minérales, exposition permanente à des phénomènes électriques et électromagnétiques, etc. Ces perturbations massives ne sont pas nécessairement la cause de nos maladies, mais elles nous dépossèdent de l’énergie dont nous avons besoin pour surmonter les stress et résoudre nos conflits intérieurs.

L’eau pure et vivante proposée par la bioélectronique
Il faut savoir que l'eau agit plus par ce qu'elle emporte (ce dont elle nous libère ou ce dont elle nous prive) que par ce qu'elle apporte. Elle n’est pas destinée à nous minéraliser. Les eaux de boisson biocompatibles devraient avoir un pH entre 6 et 7, un rH2 entre 25 et 28 et surtout une résistivité supérieure à 6000 ohms, c'est-à-dire contenir moins de 120 mg de résidus secs par litre[2]. De telles eaux conditionnent la santé puisqu'elles favorisent l'élimination des toxines et protègent l'organisme des variations cosmiques périodiques suroxydantes (pleine lune, canicule, orages, tempêtes...).
Cependant, l'état normal de l'eau dans la nature est d'être en mouvement. Ce sont les tourbillons créés par l'écoulement de l'eau qui conditionnent sa structure et ses différents potentiels. Elle s’altère et perd très vite ses propriétés vitales : la stagnation abaisse la résistivité, le traitement chimique favorise l'alcalose et l'oxydation, etc. En dehors des eaux de sources parfaites, issues de terrains granitiques ou volcaniques, il est possible d'obtenir une eau convenable en associant deux techniques : la filtration et la revitalisation qui lui restitue son potentiel électronique[3].
En définitive, selon la bioélectronique, l'eau de boisson devrait être à la fois pure et vitalisante. A ce jour les services officiels ignorent totalement la notion de vitalité, et leur définition de la pureté par la stérilité n’est pas conforme à la vie : une eau de source pure est-elle stérile ?

Que boire ?
Chaque jour notre corps perd environ deux litres et demi d’eau, par la respiration, la transpiration, les selles, les urines, et jusqu’à quatre ou cinq litres à la suite de gros efforts ou de fortes chaleurs. Tout le monde sait plus ou moins qu’il faut boire pour se réhydrater. Les apports de la bioélectronique démontrent qu’il ne suffit pas d’absorber des liquides pour répondre aux besoins d’hydratation de notre organisme. Encore faut-il consommer de l’eau, et une eau biocompatible (favorable à la vie) qui, on l’a vu, n’est pas synonyme de potable.
Seule l’eau pure, nature, hydrate notre corps en profondeur et permet la régénération cellulaire de notre organisme. Toutes les autres boissons ont des inconvénients de ce point de vue ; leur consommation devra donc être équilibrée par des apports d’eau suffisants[4] :
Les boissons sucrées et alcoolisées augmentent l'apport calorique et favorisent la déshydratation car la digestion du sucre et l'élimination de l'alcool exigent beaucoup d'eau.
Les autres boissons, y compris à base d’eau, sont diurétiques : elles stimulent les pertes d'eau dans les urines au détriment de l’hydratation profonde des cellules ; ceci n’enlève rien aux vertus thérapeutiques spécifiques de certaines tisanes, à utiliser dans cette optique.


[1] Linus Pauling, prix Nobel de chimie 1954, affirmait déjà que la taille et la forme des molécules étaient plus importantes que leur composition chimique et que l’anesthésie était basée sur la structure de l’eau.
[2] Le maximum de résidu sec imposé par la loi est passé de 500 mg/l avant 1961 à 1500 mg/l en 1989.
[3] On pourra par exemple filtrer l'eau d'adduction par osmose inverse ou bien récupérer puis filtrer l'eau de pluie, en veillant à redonner à l'eau sa structure vitalisante par un procédé adapté (tourbillons, onde de forme, aimant, quartz…).
[4] Les gens qui boivent peu ne perçoivent pratiquement plus les signaux de soif donnés par leur corps. Ils les confondent éventuellement avec les signaux de faim et prennent un encas au lieu de boire de l’eau nature. Il peuvent donc souffrir de déshydratation chronique, malgré une absence de soif ou malgré l’absorption de quantités d’autres boissons.