La
dynamique de l'eau
« La bioélectronique a
permis de mettre en évidence l’aspect dynamique de l’eau, trop souvent analysée
à l’état statique sur des critères chimiques qui ne traduisent pas ses facultés
d’adaptation aux variations du milieu vivant. ». Docteur Jeanne Rousseau
L’ignorance officielle des paramètres vitaux
de l’eau n’est pas surprenante quand on sait qu’en sept ans d’études de
médecine il n’y a pour ainsi dire pas de cours sur l’eau, alors que c’est le
principal constituant de l’organisme.
L'eau possède une
individualité biologique liée à trois facteurs distincts qui la structurent :
La nature du milieu
dans lequel elle circule : le
facteur chimique
La vitesse
d'écoulement dans le milieu en question : le facteur cinétique
La
température : le facteur thermique
Cette structure confère à l’eau une faculté de résonance qui lui permet
de s’adapter aux variations électromagnétiques, d’origine cosmique, du milieu
extérieur. Elle répercute cette faculté dans les milieux vivants dont elle
conditionne la morphologie et l'équilibre physiologique.
Toute
altération de l'eau, même infime, au delà de ce que peut déceler l'analyse
chimique, impacte la respiration
cellulaire et nous entraîne dans le cercle vicieux de la dégradation du
terrain.
L’eau
limpide et morte exigée par la réglementation
Pour qu'une eau soit déclarée potable elle doit répondre à près de 150
critères. Ces normes qui paraissent strictes
sont en fait très tolérantes car elles acceptent de nombreux toxiques à
condition que leur concentration ne dépasse pas le maximum autorisé, ainsi que
des traces de métaux lourds et de pesticides, difficilement dosables, et dont
on ignore (dans tous les sens du terme) les dangers.
Cette eau réglementaire est une eau morte, stérilisée à l’aide de
produits très oxydants, comme le chlore ou l’ozone, ioniquement alcaline et
chimiquement chargée d’électrolytes. Son bilan bioélectronique est très
similaire à celui effectué sur le sang des cancéreux. Mais elle est limpide et
exempte de microbes…
Si l’eau du robinet favorise l’alcalinisation, l’oxydation
et l’encrassement électrolytique de nos organismes, nos usages et modes de vie
dévitalisants y contribuent largement : engrais chimiques, pesticides,
pasteurisations, stérilisations, irradiations, vaccins, antibiotiques,
médicaments, abus d’eaux minérales, exposition permanente à des phénomènes
électriques et électromagnétiques, etc. Ces perturbations massives ne sont pas
nécessairement la cause de nos maladies, mais elles nous dépossèdent de
l’énergie dont nous avons besoin pour surmonter les stress et résoudre nos
conflits intérieurs.
L’eau
pure et vivante proposée par la bioélectronique
Il faut savoir que l'eau agit plus par ce qu'elle emporte (ce dont elle
nous libère ou ce dont elle nous prive) que par ce qu'elle apporte. Elle n’est
pas destinée à nous minéraliser. Les eaux de boisson biocompatibles devraient
avoir un pH entre 6 et 7, un rH2 entre 25 et 28 et surtout une
résistivité supérieure à 6000 ohms, c'est-à-dire contenir moins de 120 mg de
résidus secs par litre.
De telles eaux conditionnent la santé puisqu'elles favorisent l'élimination des
toxines et protègent l'organisme des variations cosmiques périodiques
suroxydantes (pleine lune, canicule, orages, tempêtes...).
Cependant, l'état normal de l'eau dans la nature est d'être en
mouvement. Ce sont les tourbillons créés par l'écoulement de l'eau qui
conditionnent sa structure et ses différents potentiels. Elle s’altère et perd
très vite ses propriétés vitales : la stagnation abaisse la résistivité,
le traitement chimique favorise l'alcalose et l'oxydation, etc. En dehors des
eaux de sources parfaites, issues de terrains granitiques ou volcaniques, il
est possible d'obtenir une eau convenable en associant deux techniques : la
filtration et la revitalisation qui lui restitue son potentiel électronique.
En définitive, selon la bioélectronique, l'eau de boisson devrait être
à la fois pure et vitalisante. A ce jour les services officiels ignorent totalement
la notion de vitalité, et leur définition de la pureté par la stérilité n’est
pas conforme à la vie : une eau de source pure est-elle stérile ?
Que
boire ?
Chaque jour notre corps perd
environ deux litres et demi d’eau, par la respiration, la transpiration, les
selles, les urines, et jusqu’à quatre ou cinq litres à la suite de gros efforts
ou de fortes chaleurs. Tout le monde sait plus ou moins qu’il faut boire pour
se réhydrater. Les apports de la bioélectronique démontrent qu’il ne suffit pas
d’absorber des liquides pour répondre aux besoins d’hydratation de notre
organisme. Encore faut-il consommer de l’eau, et une eau biocompatible
(favorable à la vie) qui, on l’a vu, n’est pas synonyme de potable.
Seule l’eau pure,
nature, hydrate notre corps en profondeur et permet la régénération cellulaire
de notre organisme. Toutes les autres boissons ont des inconvénients de ce
point de vue ; leur consommation devra donc être équilibrée par des
apports d’eau suffisants :
Les boissons sucrées
et alcoolisées augmentent l'apport calorique et favorisent la déshydratation
car la digestion du sucre et l'élimination de l'alcool exigent beaucoup d'eau.
Les autres boissons,
y compris à base d’eau, sont diurétiques : elles stimulent les pertes
d'eau dans les urines au détriment de l’hydratation profonde des
cellules ; ceci n’enlève rien aux vertus thérapeutiques spécifiques de
certaines tisanes, à utiliser dans cette optique.