B1b. LES TRANSMUTATIONS BIOLOGIQUES à FAIBLE ÉNERGIE


La bioélectronique de vincent (II)

Les transmutations biologiques à faible énergie[1]

L’alchimie à l’épreuve de la bioélectronique
« Les miracles ne violent pas les lois de la nature mais le peu que nous en savons. » Saint-Augustin
Le biophysicien Louis Kervran a découvert que les êtres vivants peuvent effectuer des changements radicaux au sein de leurs organismes, en transformant une matière, un gaz, un minéral en un autre élément. Ce petit miracle se produit par la fusion de deux corps simples[2] dont les masses atomiques s’additionnent pour en former un troisième, ou par la fission d’un corps simple en deux nouveaux éléments, soit une répartition différente du même nombre de particules énergétiques (électrons et protons).

C’est la poule qui est à l’origine de cette découverte majeure !
Le talent des chercheurs qui trouvent (eurêka !) réside souvent dans leur capacité à se poser les bonnes questions.
« Comment la poule arrive-t-elle à pondre des œufs dont la coquille est nettement plus riche en calcium que le contenu de son alimentation ? »
Telle est la question fondamentale posée par le professeur Kervran qui alla chercher la réponse dans le poulailler :
Pour commencer il supprima le calcium du menu de la poule. La coquille de ses oeufs était toujours aussi solide, mais il observa que Cocotte s’était mise à consommer des petits cailloux de mica, riches en potassium. Elle fut alors placée sur un site sans mica et pondit des œufs mous, donc carencés en calcium. En résumé, la preuve était faite que la poule fabrique du calcium, de masse atomique 40, à partir du potassium de masse atomique 39 fusionnant avec un atome d’hydrogène de masse atomique 1 (soit 39 + 1 = 40). La poule, comme tous les êtres vivants, fait de la fusion nucléaire à basse énergie, sans augmentation de température et sans avoir besoin de réacteurs nucléaires surpuissants.
Ce principe permet notamment de comprendre…
  • Comment le crabe reconstitue sa carapace en récupérant et en assimilant un calcium quasiment absent des milieux marins
  • Pourquoi en donnant du sel aux vaches on enrichit leur lait en calcium
  • Pourquoi elles lèchent le salpêtre des pierres (riche en potassium) quand elles en manquent
  • Pourquoi il est inutile de consommer des laitages pour fabriquer du calcium[3], etc.
Il y a parfois plusieurs voies de transmutation pour aboutir à un même élément, en une ou plusieurs étapes. Un grand nombre d’associations sont possibles et permettent d’éviter des carences, même avec une alimentation apparemment pauvre en certains minéraux.
A noter : Ne sont transmutables que les minéraux naturels, riches en électrons libres, exempts de polluants : aucun des minéraux de synthèse (fabriqués par l’homme) n’a la possibilité de transmuter.

Les conditions physiologiques nécessaires aux transmutations
  • La présence d’activateurs spécifiques est nécessaire, sous la forme de certaines enzymes ou certains minéraux dits rares (car notre corps n’en possède que des traces) : on les trouve dans les graines germées, le tamari ou le miso (soja fermenté) non pasteurisé, l’argile, les algues, l’ortie et beaucoup d’autres plantes sauvages…
  • Les cellules doivent avoir un potentiel électrique proche de 250 millivolts.
  • Le terrain ne doit pas être saturé de toxines et oxydé, et les émonctoires doivent fonctionner correctement.

Le rythme vital de la respiration cellulaire

Les vraies causes de la déminéralisation
Le bioélectronicien Daniel Pinon[4] a rapproché le principe des transmutations à faible énergie de ses propres travaux sur le rôle crucial de la respiration cellulaire, qualifiée par lui de « clé de la compréhension du vivant ».
La respiration cellulaire électrique : la cellule est une pompe électrique aspirante et refoulante ; un mauvais voltage, une inversion des polarités, engendrent un dysfonctionnement et un ralentissement des liquides intra et extracellulaires. En cas de perturbation à ce niveau, la cellule va compenser en activant deux pompes : Sodium (Na) / Potassium (K), et Calcium (Ca) / Magnésium (Mg), au prix d’un déséquilibre minéral qui n’est pas sans conséquences.
La respiration cellulaire minérale : dans une cellule saine, il existe un équilibre Mg/K ; dans la cellule malade, électriquement perturbée, cet équilibre est rompu, le Mg est en carence et le K en excès. Si l’on apporte du Mg il reste en carence et si l’on chélate (séquestre) le K, il reste en excès. Ce qui s’explique par le fait que la cause du problème est en amont.
Constatant que le fait d’agir sur les minéraux ne rétablit pas l’équilibre minéral, Daniel Pinon a conclu et démontré qu’il fallait rétablir l’équilibre Oxygène (O2) / Hydrogène (H), autrement dit baisser le rH2 ou désoxyder le terrain, pour redonner son rythme vital à la respiration cellulaire.
Selon nos modes de vie nous engendrons des cercles vertueux ou bien des cercles vicieux. A terme, il semble que nous n’ayons pas d’autre choix que cette alternative.


[1] D’après L’Eveil des nouveaux chamans, de Didier Rauzy.
[2] Se référer au tableau périodique des éléments de Mendeleïev qui comporte 118 corps simples (facile à trouve via Internet). A ce jour une vingtaine ont été démontrés transmutables.
[3] Les Japonais qui ne consomment pratiquement pas de laitages font partie des populations les moins soumises à l’ostéoporose, à l’inverse des Suédois qui détiennent des records de consommation laitière. Le biologiste Alexis Carrel, prix Nobel de médecine en 1912, conseillait déjà de ne jamais donner le minéral en carence, et de traiter le problème en amont.
[4] Daniel Pinon, l’un des grands chercheurs /découvreurs en BE, cité dans Sources Vitales n°47, avril 2003